Ressources spirituelles pour pasteurs et leaders chrétiens

Cliquez pour télécharger ce numéroUn autre numéro de Ressources spirituelles, no 16 – automne 2008, est maintenant disponible. Le thème de ce numéro est “L’église et l’évangélisation”.

Le pasteur Charles Crabtree, ancien assistant au surintendant général des Assemblées de Dieu, écrit le premier article, “Le secret pour bâtir une église qui gagne des âmes”. Voici quelques extraits :

Il est vital que nous puissions considérer le fait de gagner des âmes comme une joie et non une corvée, une passion et non un devoir, un privilège et non un fardeau.

Pour que des chrétiens deviennent des gagneurs d’âmes, il faut qu’ils goûtent à la joie et la satisfaction qu’on ne connaît qu’en amenant quelqu’un au Seigneur.

L’église qui veut gagner des âmes doit commencer par en cultiver le désir avant de s’interroger sur la manière d’y parvenir.

Pour qu’un pasteur amène son église à gagner des âmes, il faut qu’il le fasse lui-même – quand il prêche comme dans la vie de chaque jour.

Ce n’est que par l’exemple de gagneurs d’âmes que les croyants seront motivés à devenir eux-mêmes des gagneurs d’âmes.

Le professeur Stanley Horton donne une étude sur le mot ekklesia dans son article “Je bâtirai mon église”.

Priorités pentecôtistes : la clé pour une église vivante et en pleine croissance” est une interview entre Thomas Trask (ancien surintendant des Assemblées de Dieu, USA) et le pasteur John Lindell qui a commencé James River Assembly avec 42 membres en 1991 et a récemment accueilli 9.213 personnes un dimanche matin. Voici quelques citations du pasteur Lindell :

Si je n’apprends pas aux gens à s’approcher avec assurance du trône de la grâce, afin de trouver grâce et d’obtenir miséricorde afin d’être secourus dans leurs besoins, à quoi bon les enseigner?

Depuis les débuts de notre église, j’ai décidé de fonctionner selon le principe que j’appelle « la négligence planifiée ». Je planifie de tout négliger jusqu’à ce que mon message soit prêt…Je passe environ huit à dix heures à préparer mes prédications pendant la semaine. Si j’aborde un sujet difficile, cela peut me prendre jusqu’à dix-huit heures. La priorité de ma semaine consiste à m’assurer de prendre le temps qu’il faut pour étudier. Si je ne suis pas préparé, les gens auront le sentiment que je leur sers des restes, et que nos réunions du dimanche ne sont pas importantes.

Ma prière est que le Seigneur donne aux responsables pentecôtistes un renouvellement dans le baptême dans le Saint- Esprit, et que nous qui fréquentons constamment ces vérités pentecôtistes, nous ne nous habituions pas au point d’en oublier la puissance, seule capable de transformer nos vies et nos ministères.

Dans l’article “Développer la vision de l’évangélisation parmi les leaders de l’église”, le feu Bill Bright, fondateur de Campus pour Christ International, dit ceci :

Il nous faut communiquer la vision à ceux qui dirigent les églises dans l’évangélisation. Là où il n’y a pas de vision pour l’évangélisation, l’église se meurt spirituellement, ainsi que la population qu’elle aurait pu atteindre. Un conducteur spirituel devrait être consumé par la vision de

Il parle aussi de l’importance du jeûne et de la prière.

Randy Hurst vise l’exhortation de Paul à Timothée : “Fais l’œuvre d’un évangéliste” (2 Timothée 4:5) dans son article sur “Le pasteur-évangéliste”. Voici quelques extraits :

Les pasteurs les plus efficaces dans l’évangélisation que je connais ont un impact direct et personnel dans la vie des gens en dehors du cadre de l’église.

Avant qu’un pasteur ne puisse motiver son assemblée à s’engager dans l’évangélisation, il doit tout d’abord montrer lui-même l’exemple par son propre témoignage.

Gary Oliver, auteur d’une dizaine de livres et professeur de psychologie et de théologie pratique à l’Université John Brown en Arkansas (USA), met l’accent sur l’importance et comment “Développer un ministère envers la famille dans l’église”.

Stanley J. Grenz, professeur de théologie au Carey Theological College à Vancouver (Canada), répond à la question : “L’église doit-elle encore lutter pour défendre sa foi ?” “Certes, répond-il, mais encore faut-il décider comment” dans le contexte de l’époque postmoderne.

Il y a dans l’approche apologétique trois dimensions qui correspondent bien au contexte émergeant. Tout d’abord, nous devons passer à une approche qui soit invitante…

Ensuite, nous devons les approcher sur un mode de conversation…

Et par-dessus tout, d’apologistes bien équipés que nous étions, nous devons devenir une communauté de croyants…

William Farley, pasteur de Grace Christian Fellowship à Spokane, Washington (USA), retire des leçons de la vie de “John Bunyan : Le fidèle étameur de Bedford”.

James Bridges, qui était le trésorier général des Assemblées de Dieu des États-Unis, écrit sur “L’esprit du mercenaire”.

Jésus a clairement fait une distinction entre le berger et le mercenaire. Les contrastes entre les deux sont majeurs, mais la différence la plus profonde se trouve dans leur nature.

  1. L’esprit du mercenaire peut être détecté à son langage.
  2. L’esprit du mercenaire peut être détecté à son attitude égoïste.
  3. L’esprit du mercenaire peut être détecté en temps de crise.
  4. L’esprit du mercenaire peut être détecté à ses motivations.
  5. L’esprit du mercenaire peut être détecté à son manque d’amour.

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