Évolution : science ou croyance ?

“La Théorie de l’Evolution est-ce une science ou une croyance? Voilà la question à laquelle cinq spécialistes internationaux ont dû répondre. Découvrez la Théorie de l’Evolution à travers ce documentaire vendu de part le monde et aujourd’hui disponible sur Internet.”

Le film considère la biogenèse, la mécanique de la formation des strates, la datation, la biogénétique et encore d’autres questions importantes. Le film était monté de plusieurs sources. La première partie est traduite de l’anglais, mais quelques intervenants sont francophones. Le film dure 73 minutes, mais ça vaut vraiment la peine !

Le film est également disponible en “English, Español, Italiano et Polski”.

Évolution : science ou croyance ?

“La Théorie de l’Evolution est-ce une science ou une croyance? Voilà la question à laquelle cinq spécialistes internationaux ont dû répondre. Découvrez la Théorie de l’Evolution à travers ce documentaire vendu de part le monde et aujourd’hui disponible sur Internet.”

Le film considère la biogenèse, la mécanique de la formation des strates, la datation, la biogénétique et encore d’autres questions importantes. Le film était monté de plusieurs sources. La première partie est traduite de l’anglais, mais quelques intervenants sont francophones. Le film dure 73 minutes, mais ça vaut vraiment la peine !

Le film est également disponible en “English, Español, Italiano et Polski”.

Les fossiles et la théorie darwinienne

Le site Un poisson dans le net vient de poster “Au commencement… Dieu ? Les fossiles — Une assurance loin d’être partagée (14)” dans la série Au commencement… Dieu ? par Henry Bryant. Comme nous avons récemment considéré ce sujet de l’évolution sur ce site avec pas mal de débat, il vous serait intéressant de lire cette série d’articles qui est disponible grâce aux Éditions Clé et à M. Bryant. Voici quelques extraits de l’article sur “Les fossiles — Une assurance loin d’être partagée (14)”.

…nombreux sont les géologues et les paléontologues qui voient dans le l’étude des fossiles de graves difficultés pour la théorie darwinienne… [I]l n’est pas possible, par l’étude des fossiles, de montrer que toutes les espèces vivantes aujourd’hui ont des ancêtres communs. C’est une généralisation qui contredit plutôt ce que nous observons dans ces traces laissées dans les couches sédimentaires de notre planète…

…“la richesse des archives fossiles” … accentue un phénomène commun à toutes les couches sédimentaires : l’absence notoire des formes de transition importantes. On rencontre des opinions très divergentes concernant la validité de certains “ chaînons manquants ”, mais tous s’accordent pour dire que la grande majorité des classes, des ordres, et des familles apparaissent dans les strates fossilifères parfaitement formées, sans antécédent. En réalité, il ne s’agit pas de quelques “maillons” qui manqueraient dans la chaine évolutive, mais de grandes longueurs de chaines qui sont introuvables…

Etant donné le grand fossé qui sépare les vertébrés des invertébrés, il faut croire que pendant 100 millions d’années des multitudes d’organismes mi-poisson/mi-invertébré ont existé et ont péri sans laisser la moindre trace. C’est possible, mais moins crédible que le récit de la création ! …

L’étude des fossiles autorise des différences honnêtes d’opinion. Mais les archives fossiles sont très décevantes pour ceux qui y cherchent un appui à la théorie générale de l’évolution.

L’absence presque totale de formes intermédiaires et ancestrales dans les gisements fossiles est aujourd’hui largement reconnue comme l’une de leurs caractéristiques les plus frappantes par beaucoup de paléontologues éminents.

Darwin croyait alors que les recherches futures allaient apporter ce qui manquait dans les indices fossiles. Aujourd’hui on n’a plus cet espoir…

Je vous encourage à lire tout l’article bien documenté ainsi que le texte intégral de ce livre Au commencement… Dieu ?

HT: Un poisson dans le net

Pour d’autres articles sur l’évolution, cliquez ici.

Les fossiles et la théorie darwinienne

Le site Un poisson dans le net vient de poster “Au commencement… Dieu ? Les fossiles — Une assurance loin d’être partagée (14)” dans la série Au commencement… Dieu ? par Henry Bryant. Comme nous avons récemment considéré ce sujet de l’évolution sur ce site avec pas mal de débat, il vous serait intéressant de lire cette série d’articles qui est disponible grâce aux Éditions Clé et à M. Bryant. Voici quelques extraits de l’article sur “Les fossiles — Une assurance loin d’être partagée (14)”.

…nombreux sont les géologues et les paléontologues qui voient dans le l’étude des fossiles de graves difficultés pour la théorie darwinienne… [I]l n’est pas possible, par l’étude des fossiles, de montrer que toutes les espèces vivantes aujourd’hui ont des ancêtres communs. C’est une généralisation qui contredit plutôt ce que nous observons dans ces traces laissées dans les couches sédimentaires de notre planète…

…“la richesse des archives fossiles” … accentue un phénomène commun à toutes les couches sédimentaires : l’absence notoire des formes de transition importantes. On rencontre des opinions très divergentes concernant la validité de certains “ chaînons manquants ”, mais tous s’accordent pour dire que la grande majorité des classes, des ordres, et des familles apparaissent dans les strates fossilifères parfaitement formées, sans antécédent. En réalité, il ne s’agit pas de quelques “maillons” qui manqueraient dans la chaine évolutive, mais de grandes longueurs de chaines qui sont introuvables…

Etant donné le grand fossé qui sépare les vertébrés des invertébrés, il faut croire que pendant 100 millions d’années des multitudes d’organismes mi-poisson/mi-invertébré ont existé et ont péri sans laisser la moindre trace. C’est possible, mais moins crédible que le récit de la création ! …

L’étude des fossiles autorise des différences honnêtes d’opinion. Mais les archives fossiles sont très décevantes pour ceux qui y cherchent un appui à la théorie générale de l’évolution.

L’absence presque totale de formes intermédiaires et ancestrales dans les gisements fossiles est aujourd’hui largement reconnue comme l’une de leurs caractéristiques les plus frappantes par beaucoup de paléontologues éminents.

Darwin croyait alors que les recherches futures allaient apporter ce qui manquait dans les indices fossiles. Aujourd’hui on n’a plus cet espoir…

Je vous encourage à lire tout l’article bien documenté ainsi que le texte intégral de ce livre Au commencement… Dieu ?

HT: Un poisson dans le net

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Le cœlacanthe : un fossile vivant

Mon oncle est un grand pêcheur qui aime raconter des blagues concernant la pêche, comme la fois qu’il a attrapé un poisson qui était si énorme que la photo pesait 20 kilos ! Avez-vous entendu l’histoire du pêcheur qui a attrapé un poisson qui avait 350 millions d’ans ? D’accord, j’exagère, mais pas autant que les évolutionnistes qui voudraient faire croire que le cœlacanthe date de 350 millions d’années.

BBC News dit que l’Indonésien Justinus Lahama a pêché un cœlacanthe de 1,2 mètre en mai 2007 ; ils peuvent atteindre 1,5 mètres.

Cœlacanthe pêché le 22 mai 2007

Jusqu’en 1938, les évolutionnistes prétendaient que le cœlacanthe avait disparu il y a 65 millions d’années.

Le National Geographic dit :

Les scientifiques ont été choqués quand un cœlacanthe a été trouvé près de la côte de l’Afrique en 1938. Ils avaient cru que le poisson était éteint depuis 65 millions d’années.

CoelacantheIls ont été choqués parce que selon leur interprétation du registre fossile, le cœlacanthe ne devrait plus exister. En 1952, un autre cœlacanthe a été péché près des Iles Comores. Depuis lors, on a pu étudier le poisson dans son environnement. En 1997, une population de cœlacanthes a été trouvée en Indonésie.

La « découverte » du cœlacanthe pose deux problèmes pour les évolutionnistes :

  1. Selon les évolutionnistes, le cœlacanthe a évolué il y a 350 millions, mais l’on ne constate pas d’évolution entre les fossiles qui datent de 70 millions à 350 millions d’années et le cœlacanthe que l’on pêche des eaux profondes aujourd’hui. En 350 millions d’années, le cœlacanthe n’a pas évolué.
  2. Selon leur interprétation du registre fossile, le cœlacanthe avait disparu il y a 70 millions d’années. Pourtant, il n’a pas disparu. Le cœlacanthe vivant démontre que les évolutionnistes ont mal interprété les données.

Pour couvrir leur embarras, au lieu de changer leur interprétation et de découvrir comment les strates de roches ont été formées rapidement par le Déluge globale qui a provoqué l’enterrement de millions d’animaux toujours vivants comme le dit la Bible, ils ont inventé l’oxymore « fossile vivant » comme si cela expliquait pourquoi le fossile ne se trouve pas dans le registre depuis 70 millions d’années.

Récemment un lecteur a écrit que le cœlacanthe démentit ce que j’avais écrit. Au contraire, le cœlacanthe démentit la théorie de l’évolution.

D’autres sources en anglais :

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Requin préhistorique attaque la théorie de l’évolution

Fossile vivant ! L’agence de presse Reuters a annoncé le 24 janvier 2007 qu’un rare requin « préhistorique »  (Chlamydoselachus anguineus) a été filmé par le « Awashima Marine Park » à Shizuoka, près de Tokyo. Selon R. Aidan Martin, la créature se ressemble à une anguille avec environ 300 dents en 25 rangs et peut atteindre une longueur de deux mètres. Le requin habite les eaux de mer à une profondeur de 120 à 1280 mètres. Le video MSNBC a dit que cet animal vivait il y a 50 millions d’années et n’a pas beaucoup changé.

Quand les évolutionnistes commençaient à trouver des créatures vivantes qu’ils croyaient disparus depuis – selon leur interprétation de la couche fossile – des millions d’années, ils ont dû inventer un nouveau terme : « fossile vivant ». Ainsi ce requin est désigné comme un « fossile vivant » qui selon Le Petit Robert est « animal ou végétal, seul ou l’un des seuls représentants trouvé actuellement d’une espèce autrefois florissante ».

Selon Wikipédia, « Les exemples [de fossiles vivants] les plus connus sont ceux des poissons coelacanthes (Latimeria chalumnae et Latimeria menadoensis) et du métaséquoïa, arbre découvert en 1943 dans une lointaine vallée chinoise. »

En parlant des fossiles non vivants, Gary Parker, Ph.D., biologiste/ paléontologiste et ancien évolutionniste, dit : « Les fossiles sont un grand embarras pour la théorie de l’évolution et appuient fortement le concept de la création. » L’article « Que nous apprennent les fossiles à propos de l’évolution ? » à www.christiananswers.net, donne les faits suivants qui sont embarrassants pour la théorie de l’évolution :

  • Apparition soudaine des animaux
  • Apparition soudaine aussi des plantes
  • Invariabilité des animaux
  • Abondance des fossiles
  • Formation rapide des strates géologiques
  • Formation rapide du charbon
  • Conditions très spéciales requises pour la fossilisation
  • Mauvais ordre chronologique pour l’évolution

Selon cet article, les fossiles démontrent :

Invariabilité des animaux. Contrairement à la croyance populaire, la plupart des fossiles ne sont pas des traces d’animaux éteints. La majorité des spécimens fossilisés sont très semblables (et souvent totalement identiques) aux créatures vivant aujourd’hui. On dit qu’il y a bien plus d’espèces animales vivantes qu’il y en a de connues uniquement à l’état fossile. Si l’évolution est vraie, on peut se demander pourquoi ce n’est pas exactement l’inverse! L’histoire évolutionniste est supposée être remplie des stades transitoires de l’amibe à l’homme.

Abondance des fossiles. Les évidences appuyant l’évolution sont toujours manquantes en dépit de l’énorme quantité de fossiles. Bien que les scientifiques découvriront encore de nouvelles variétés d’animaux et de plantes fossiles, on reconnaît généralement que les millions de fossiles déjà découverts (et les dépôts sédimentaires déjà explorés) fournissent une indication fiable sur la nature des indices fossiles : c’est qu’ils n’appuieront pas davantage dans le futur que maintenant la théorie de l’évolution.

Profile du requin « préhistorique »Les évolutionnistes ne semblent pas se rendre compte que les fossiles vivants sont des preuves que la théorie de Darwin et leur interprétation de la couche fossile sont défectueuses. Il est manifeste que les fossiles vivants n’ont pas disparu pendant des millions d’années pour réapparaître de nos jours comme l’interprétation évolutionniste des couches fossiles nous amènerait à croire. Psaume 104 nous explique qu’au Déluge, les strates géologiques ont été rapidement formées :

« Il a établi la terre sur ses fondements, A tout jamais elle est inébranlable. 6 Tu l’avais couverte de l’abîme comme d’un vêtement, Les eaux se tenaient sur les montagnes ; 7 Elles fuyaient devant ta menace Elles se précipitaient à la voix de ton tonnerre. 8 Des montagnes s’élevaient, des vallées s’abaissaient Au lieu que tu leur avais établi. 9 Tu as posé une limite que (les eaux) ne doivent pas franchir, Afin qu’elles ne reviennent pas couvrir la terre » (Psaumes 104:5-9 SER).

Si nous voulons comprendre la présence des soi-disant fossiles vivants, il nous convient de tenir compte du Déluge mondiale. L’Apôtre Pierre a dit que dans les derniers jours, des gens oublieraient volontairement les effets du Déluge :

« En effet, ils oublient volontairement qu’il y eut, autrefois, des cieux et une terre qui, du milieu de l’eau et formée par l’eau, surgit à la parole de Dieu, 6 et que, par les mêmes causes, le monde d’alors périt submergé par l’eau ; » (2 Pierre 3:5-6 SER).

Paul dit que les hommes « retiennent injustement la vérité captive » (Romains 1:18). Quand vous entendez parler de la capture des requins préhistoriques ou des coelacanthes ou d’autres « fossiles vivants », comprenez bien le message : ce sont des preuves « vivantes » que la théorie de l’évolution est mal fondée.